Où l'on vous traite de lumière du jour et de mauvais croyants. Putes.
Ecrit par : LH
Le : mardi 13 mai à 22 heures 52 minutes et 48 secondes.
script ?
Au lieu de fantasmer, ça t'occupera, taulier de moncuq
Ecrit par : Le taulier
Le : jeudi 08 mai à 16 heures 38 minutes et 38 secondes.
Un mec dans une fille dans une gerbille qui fait avaler des trucs à un renard, ça ressemble de près comme de loin à une bonne grosse partouze zoophile, ça. C'est répugnant.
Ecrit par : Gerbille fractale
Le : jeudi 08 mai à 16 heures 16 minutes et 21 secondes.
Suis-je le seul à l'avoir fait avaler (ah ah ah) à firefox ?
Ecrit par : LH
Le : lundi 05 mai à 16 heures 31 minutes et 44 secondes.
Il faut avouer que c'est un tel plaisir de taper ce mot de passe...
Ecrit par : Le taulier
Le : mercredi 30 avril à 21 heures 26 minutes et 00 secondes.
Ca fait plaisir d'avoir des commentaires enrichissants et pensés. Aaah.
Ecrit par : aelez
Le : dimanche 27 avril à 23 heures 58 minutes et 33 secondes.
Pardon.
Ecrit par : Aelez
Le : dimanche 27 avril à 23 heures 57 minutes et 55 secondes.
Ha si, ça marche.
Ecrit par : ha non.
Le : dimanche 27 avril à 23 heures 57 minutes et 17 secondes.
Ecrit par : aelez
Le : dimanche 27 avril à 23 heures 56 minutes et 10 secondes.
753
Ecrit par : LaHyenne
Le : jeudi 27 mars à 12 heures 42 minutes et 30 secondes.
Jaloux.
Sinon, je t'ai envoyé un mail.
Tu serais prié d'y répondre, avec 5 lignes sur ma pomme.
Gnan gnan s'abstenir.
Ecrit par : Le taulier
Le : mercredi 26 mars à 14 heures 19 minutes et 47 secondes.
Kerouac qui, comme chacun sait, est mort des complications de sa cyrrhose et connaissait de graves problèmes de drogue.
Ecrit par : LH
Le : mercredi 26 mars à 13 heures 09 minutes et 22 secondes.
Kerouac said :
"and the prettiest girls in the world live in Des Moines, Iowa."
Or On the road est en passe de devenir ma bible.
Tiens le toi pour dit.
Ecrit par : Le taulier
Le : mercredi 26 mars à 12 heures 31 minutes et 06 secondes.
Pour perdre, petit scarabée, il faut avoir eu.
Pécos de l'Iowa.
COMME SLIPKNOT HAHAHAHAHA QUELLE LOSE
Ecrit par : LH
Le : mardi 25 mars à 21 heures 24 minutes et 56 secondes.
Où le mot de passe est réellement d'actualité.
Ou comment perdre toute dignité sur un blog.
Faible
Ecrit par : Le tauschlurrrrrrp
Le : lundi 17 mars à 20 heures 57 minutes et 53 secondes.
Tu es si beau, Lahyenne. Si beau.
Ecrit par : lh
Le : lundi 17 mars à 19 heures 16 minutes et 44 secondes.
des liens ?
Ecrit par : Le taulier
Le : samedi 15 mars à 14 heures 43 minutes et 55 secondes.
Lh, j'aurais besoin de toi pour virer la catégorie des liens autres que littéraires. Je sais pas bien pourquoi j'ai foutu ça là, au juste. Putain d'orgueil de gamin, sûrement.
Ecrit par : Le taulier
Le : vendredi 14 mars à 18 heures 20 minutes et 04 secondes.
Veuille exploser immédiatement de manière douloureuse en commençant par tes caractères sexuels primaires, puis par tes zones érogènes, internes ou externes.
Ecrit par : ouais
Le : vendredi 14 mars à 13 heures 56 minutes et 27 secondes.
Mallarmé est une pute.
Ecrit par : Le taulier
Le : jeudi 13 mars à 15 heures 42 minutes et 17 secondes.
Calme bloc, ici Bacchus, à vous les studios.
Lahyenne, tu mourras pour cet outrage. A Poe, à Mallarmé, et à l'Hygiène.
Poe et l'Hygiène, j'aurais pu pardonner. Mais on touche pas à Mallarmé bordel.
Ecrit par : LH
Le : jeudi 13 mars à 14 heures 56 minutes et 03 secondes.
Et on ne dit pas "Bas chus", mais Bacchus.
Tu ne respectes donc rien ?
Quand au texte, on s'en fout, on vient pas pour ça mais juste pour te vanner et de temps en temps un petit suicide du taulier.
Ecrit par : Le taulier
Le : jeudi 13 mars à 11 heures 33 minutes et 04 secondes.
Et plus ça va et plus je me dis que mourir en se vomissant à sa propre face, c'est un acte d'une classe et d'une pertinence artistique extraordinaire.
John Bonham, mon héros.
N° : 41, Le jeudi 13 mars à 11 heures 10 minutes et 11 secondes.
On n’est jamais qu’une cathédrale. D’aucuns s’en émerveillent. Ce sont des rustres. On n’est jamais qu’une forme vide en pierre froide percée de trous en verre peint, mal, souvent. Ventée, solennelle et ventée, tendue vers le ciel et clouée par sa masse.
J’envie la gloire des lapicides, et celle des statuaires médiévaux. Ceux qui ne signaient pas mais avaient mis leur patience, la force de leurs mains et leur culture dans des pierres formées, posées, et préservées après eux. Après eux, si l’on écoute l’Etat-Civil ; ce porc. Ils sont là, eux. Il y a les gargouilles. Il y a même les blocs. Calmes blocs ici-bas chus, eux, véritablement.
J’envie ceux qui persistent en quelque chose. Ceux qui écrivent ne persistent qu'en mots et pas davantage que comme une impression rétinienne, ou le souvenir d’une voix, et les oreilles n’ont pas mémoire. Cathédrales de vent.
Je laisse vieillir Glo, oui, je le laisse crouler, lui aussi. Tout cela meurt fort bien. Je déshabille la fange et la poussière. Les cathédrales, bâties en une grotte, seraient des antres. Elles existent par la lumière du dehors. La rosace est belle face au soleil. Les volumes, libérés par la clarté du dehors à travers les vitraux. Vos yeux l’animent ; à tort. Ou quoi bon.
Je suis un trou dont on a bien voulu faire une église, consacrée, adorée. Dessiné par des murs et nefs dont vous êtes, pour le plus, les auteurs, et le taulier l’archéologue, au mieux. Je suis un trou dont sortent des paroles, des phrases et des textes, et que vous avalez comme hostie, respirez comme Esprit Saint – ainsi que chez d’autres, d’autres auteurs, d’autres cathédrales, d’autres trous.
A quoi bon idolâtrer des cathédrales ; qu’on rêve à ceux qui les ont faites, soit, mais qu’on rêve en silence, dans l’absence et lèvres scellées. Ou que l’on vienne embrasser celles qui, parce que la Nature interdit la magie, ont prononcé ; mais pour leur chair, pas pour leurs mots. A quoi bon aduler l’artifice d’une bibliographie. Graphie. D’une ligne fausse et tracée par des historiens poudreux, ou des fidèles sans Foi. Que l’on aime les textes en l’absence des lèvres, ou revienne aux lèvres en oubliant les textes – mais c’est impossible et foutez-moi la paix. La vraie Foi transcende la flèche et la croix, et monte droit jusqu’au Verbe. Comment toute une culture peut-elle savoir, comme une évidence, qu’on croit en Dieu, pas en sa maison, que Dieu n’est pas en granite ni en verre, mais ne pas suivre la voie de pensée qui lui est donnée là, et croire encore en des auteurs. J’excuse les incroyants. Mais la pensée leur est présente. Qu’ils pensent. Je n’excuse pas les incroyants, au fond.
Je suis prêtre et absent.
(Et je ne pense pas droit et je ne pense pas net ; je sais. Je refuse. Il n’y aura pas de théorie de l’auteur, de sa fonction, de sa forme reliquaire. Je me questionne, j’écoute et je refuse, quelque réponse que ce soit. Et je pense faiblard et d’autres ont dit mieux et davantage : oui, je sais. Rien à foutre. Allez vous faire voir. Vous ne devriez pas même être ici. Vous êtes de simples voyeurs.)
(Lecteur arrivé là par hasard, tu peux encore fuir, il est temps et même besoin.)