Coin de table numéro sept.

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Ecrit par : LH
Le : mercredi 30 juillet à 20 heures 04 minutes et 59 secondes.

Mais n'importe quel objet finit par claquer, putain. N'importe quel caillasse a l'élégance de ne pas accepter l'écrasement jusqu'au bout, et te pète aux mains

En fait, c'est pas tout à fait vraiphysiquement parlant. Si l'objet est suffisamment petit ou résistant, tu as beau y mettre la pression que tu veux, tu n'en viendras jamais à bout.
La seule solution est d'attendre longtemps. Très très très longtemps.

Par ailleurs, je t'encourage à te plonger dans l'étude du carbure de tungstène par exemple : http://fr.wikipedia.org/wiki/Carbure_de_tungst%C3%A8ne

Merci Estelle.


N° : 42, Le mardi 15 juillet à 00 heures 59 minutes et 12 secondes.





La tragédie n'est pas de subir ou le poids des frustrations, ni la puissance des passions elle-même ; mais l'élasticité de l'esprit face à elles. Qu'on en chie, soit. Mais n'importe quel objet finit par claquer, putain. N'importe quel caillasse a l'élégance de ne pas accepter l'écrasement jusqu'au bout, et te pète aux mains, et s'il peut t'en arracher un morceau au passage, et te laisser le lambeau pendant comme un beau souvenir inerte, il le fait. Ce fils de pute d'esprit, lui, avec sa petite gueule immatérielle, il bouffe, il bouffe, il chouine, il couine, il râle qu'il en peut plus, mais il en peut toujours un peu plus. Mais pas question de le convaincre de sa résistance : non, il en chie, et il le chiale sur tous les toits.

et la joie dorée des écorces vives
et la joie dorée des écorces vives
et la joie dorée des écorces vives

mon cul, ouais

Y a toujours un virage de plus, toujours un tour de roue après celui-là. Pute de vie.



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