indus martial n°1

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Ecrit par : Le taulier
Le : dimanche 05 avril à 12 heures 27 minutes et 09 secondes.

Oui bon ça va, si on peut plus vuider tranquillou ses petites périodes suicidaires à base de p-p-p-p-platanes et de coups de volant et de Gordon Smiley, bordel.


Ecrit par : LH
Le : dimanche 08 mars à 16 heures 58 minutes et 01 secondes.

Et la réponse gagnante est :
COMME CE SITE? CE POST ET COMME MOI / A RIEN


Ecrit par : LH
Le : mercredi 27 août à 04 heures 59 minutes et 01 secondes.

A l'occase, j'ai pleins de réponses à cette question.

Mais alors pleins, glanées durant des années de posage de ta rengaine... A quoi je sers... ?



hmmm

Etienne


Ecrit par : le taulier
Le : lundi 25 août à 22 heures 50 minutes et 28 secondes.

Parfois je me demande à quoi je sers.

Et puis au matin, dans ma boîte aux lettres, j'ai mon avis d'imposition.


Ecrit par : lh
Le : mardi 19 août à 23 heures 11 minutes et 34 secondes.

putain mon super long commentaire merde quoi.

Bref.



J'aime pas le deuxieme paragraphe, mais vraiment beaucoup les tercets.

Et j'ai commencé à inventer une grammaire symbolique universelle.

Et j'ai acheté des vynils de Charlie Parker à Chicago. Des vieux trucs déjà usés, qui font pscchhhh mais avec du Charlie Parker par dessus. Du Gilespie aussi tiens.

Et c'est tout pour les nouvelles égocentriques.

Y'en aurait bien d'autres qui constituent autant d'excuse pour ne pas encore avoir fait la suite du strip, mais elles ne regardent que toi et moi (tu me diras, ici ya pas trop grand monde d'autre ?)

La bise,
LH


N° : 44, Le dimanche 17 août à 12 heures 55 minutes et 43 secondes.






"Je n'ai plus que les os, un schelette je semble",
Mes entrailles ne sont que réserves de fiel ;
Mon âme et mes vertèbres courbent sous le Ciel
Bleu de cendre d'espoir et blanc de haine ensemble.



Prends un dur destrier, fais-le danser à l'amble :
Pathétique spectacle. Tel suis donc Gabriel
Mais j'éructe du fer fondu, et non pas miel,
Et j'annonce le Glaive et les glaires qui tremblent.



Putrides, mes semblables aux ailes oiseuses ;
Les miennes sont coupantes, de raide métal,
Et déchirent le soir et sa fadeur étale.



Caduques, leur Nouvelle et Morale vaseuses ;
Il est temps que l'on crie hurle et braille à l'envi
Qu'il est temps de chaumer tout ce qui reste en vie.









(postdanstaface : le premier vers est emprunté aux Derniers vers de Pierre de Ronsard, un poème d'espoir sur la mort et l'au-delà, pour ce qu'il est temps de renverser toute chose. Certains tons et couleurs dans les images sont empruntées consciemment à Der Himmel über Berlin (Les Ailes du désir) de Wim Wenders, certains assemblages de termes et les ambiances liées, à Triarii (On Wings of Steel en particulier, et entre autres), ou Baudelaire -hélas-, ou saint Jean ; l'ambiance est un souvenir de Sophia, l'album Deconstruction of the World. Rien ne naît de nulle part, toute inspiration l'est d'ailleurs, on ne fait jamais que répéter, comme un singe idiot ; reste à le savoir, et à s'en souvenir, et à le gueuler, et à gueuler ; jusqu'à la mort.)



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