N° : 20, le 04 04 2006
A Aurélie Buhagiar
ton iris
où tonnent et brûlent
les saveurs des chant-lumières
et peut-être — au creux
— Miracle : ma
voix psalmodiant ;
A l’orée de l’oraison
L’ô résonna ré second
Des sept d’ut en l’heptacorde
En l’hymne mien sur ta lyre ;
Du rébus la potion lue
Le mirage plagiat
Gît en l’orbe de ton hart :
ton iris